Série L’Adultère : (Partie 2) Barbara : Une Salope Était Née. Comment Faire Pour Endiguer Son Addiction Au Sexe ?

Barbara, la professeure des écoles, vous raconte la suite de son premier adultère.

Quelle erreur avais-je faite le lendemain. Nous étions dimanche, Théo était parti au foot avec son père, j’étais seule dans mes pensées, je m’ennuyais à mourir. Je pris mon portable et j'avais commencé à envoyer un texto à Sébastien, mon premier amant. C’était simplement par politesse, pour lui dire bonjour. Je tapais mon texte, l’effaçais puis recommençais, enfin je ne savais pas quoi lui dire ou plutôt comment commencer notre conversation. Je me décidai enfin sur un : « Bonjour ! T’es dispo ? Bisous Barbara » Lorsque j’avais appuyé sur le bouton envoi, j’avais tout de suite regretté mon geste. Ce message n’était pas pour lui demander s’il était disponible pour me voir mais uniquement pour discuter un moment, il était déjà trop tard, il venait de répondre : « Oui ! Passe par derrière la maison, personne ne te verra. »

« Quelle gourde ! Maintenant, je ne peux plus faire machine arrière » Me dis-je. Mais au plus profond de fond de moi, je savais très bien que c’était ce que je désirais. Je lui renvoyai ma réponse : « J’arrive Bisous » puis je m’étais levé du fauteuil et j’étais allée me changer, je choisis une jupe et un teeshirt, j’étais prête à quitter la maison lorsque je lus sa réponse : « Ne mets pas ta culotte, je serai quitte de te l’enlever. »

Disciplinée et obéissante, je retirai mon string et allai le ranger dans le tiroir de la salle de bain, je me regardais une énième fois dans le miroir, avant de quitter la maison. J’avais pris en laisse « Mick » mon petit chien, ce qui me donnait une excuse, il fallait bien le promener la pauvre bête. Pendant les cinq cent mètres que j’avais à parcourir, je sentais la cyprine coulée entre mes cuisses, j’étais comme une jeune adolescente qui allait à son premier rencart. Je fis comme Sébastien me l’avait demandé, j’étais passée par l’arrière de sa maison qu’il rénovait.



Il m’attendait sur le perron de la porte de son jardin. Je lâchai « Mick » puis je lui sautai au cou pour l’embrasser :
— Ça t’a plu salope hier soir ! Tu viens en redemander sale chienne que tu es !
— C’était magique mon chéri…

Ça me gênait beaucoup sa façon de me parler, mais cela m’excitait. Nous nous sommes retrouvés très vite nus sur son grand lit dans la position d’un soixante-neuf. J’étais gourmande de sa queue que je prenais dans la bouche, sans qu’il me l’ait demandé cette fois. Je jouis une première fois en gémissant, sous ses doigts dans ma petite chatte et sa langue sur le clito, il avait dû recevoir une bonne quantité de ma jouissance sur ses lèvres, il essayait d’en boire le maximum car il me léchait tout l’entrecuisse. Pendant que je le suçais goulument, puis il s’excita à l’intérieur de ma bouche, ses allers et retours devenaient plus profonds jusqu’à ce qu’il reste au fond en poussant un râle de plaisir.

J’avais des difficultés à respirer, lorsque je sentis ce liquide chaud couler au fond de ma gorge, je compris que je buvais pour la première fois de ma vie du sperme. J’en étais fière, un peu surprise qu’il ne m’ait rien dit au préalable, mais je n’avais pas trouvé cela mauvais :
— Tu aimes ça salope ! tu m’as bu jusqu’à la dernière goutte.

Je ne répondis pas, je ne voulais pas qu’il sache que c’était ma première. Nous avons continué, à nous caresser après avoir bu le café, il était en très grande forme, car la veille il avait dû satisfaire Cindy, son plan cul et aujourd’hui il remettait ça avec moi. Il m’avait tout fait cet après-midi-là, j’avais reçu pour la première fois de vraies claques sur mes fesses devenues rouges lorsqu’il m’avait sodomisée, je prenais goût à cette pénétration et pour finir dans les premières, je reçu son sperme en plein visage pendant que je jouissais comme une folle en finissant ce qu’il m’avait ordonné, me masturber devant lui, chose que je n’avais jamais vécu non plus auparavant.


J’avais mon compte, j’étais épuisé, lui aussi m’avait-il complimenté. Nous nous sommes quittés en nous embrassant cette fois :
— Tu reviens quand tu veux, sale chienne ! envoie-moi un SMS.
— À bientôt mon chéri, tu sais que je ne peux pas trop, je suis mariée. Je t’envoie un texto promis.

Toujours à me culpabiliser trop tard, j’avais attendu une semaine pour lui envoyer mon premier message mais ce n’était pas pour un rendez-vous. Puis de fil en aiguille nous avons continué à nous contacter par SMS. Ses messages étaient de plus en plus chauds, voire même très hard. Je me masturbais en les relisant avant de m’endormir et de les effacer après.
J’avais attendu trois longues semaines avant de retournée chez lui où j’avais une nouvelle fois pris des orgasmes foudroyants, il avait le don de me faire jouir comme jamais. Très vite, nos rencontres s’étaient rapprochées, je ne pouvais pas m’empêcher de penser à lui, tous les dimanches après-midi, j’avais le feu en moi, il me fallait ma dose. Pendant deux mois, c’était une fois par semaine, mais dès le troisième mois, nous nous voyions le jeudi lors des réunions d’Olivier, je montais chez lui lorsque Théo était couché. Je devenais amoureuse, enfin je le pensais. J’étais tout simplement accroc, pourtant il était devenu plus rude, plus violant et beaucoup plus dominateur. Il voulait que je vienne aussi tous les mercredis soir.

Cela faisait six mois que nous baisions ensemble, je ne savais pas lui dire non. Lorsqu’il me demanda de venir tous les soirs, dès qu’il rentrait du travail, je pris conscience que cela allait trop loin. J’étais dans l’impasse, maintenant je ne pouvais plus rien dire à Olivier. Je savais qu’il fallait que je stoppe cette relation avant que tout dégénère, j’adorais mon mari, peut-être encore plus qu’avant. J’étais complètement perdue, Olivier était très gentil avec moi, il voyait bien que je n’allais pas bien, il m'aimait beaucoup « Pourquoi je lui faisais ça ? Que devais-je faire ? » Me demandais-je.


Du jour au lendemain, je pris la décision de ne plus l’écouter ni de répondre à ses messages. Il me harcelait de SMS, je fus dans l’obligation de changer mon numéro de téléphone. Il venait quand il le pouvait devant l’école, heureusement, il n’était jamais venu à la maison. Il demandait même de mes nouvelles, dès qu’il le rencontrait, j’en étais malade. Je me demandais s’il ne valait mieux pas que je dise toute la vérité à Olivier. Mais cette histoire était allée trop loin et trop hard pour qu’il puisse comprendre.

Cette séparation me faisait du tort car comme je n’avais plus ma dose de sexe, j’étais dans l’obligation de me reporter sur Olivier. Mais celui-ci ne m’avait pas comprise, lorsque je lui fis une fellation sans qu’il me demande quoique soit, il me prit pour une folle, il m’avait crue malade. Il me demanda de me faire suivre par un spécialiste, je fus contrainte de faire comme avant, lui en demandant un peu plus ce qu’il fit mais cela ne me suffisait pas. Sébastien avait stoppé ses échanges, il reprenait petit à petit ses plans cul. Il était venu parler avec moi, il s’excusa d’être allé trop loin :
— Pour moi c’était un jeu au début mais je suis tombé amoureux de toi. Je sais que tu ne peux quitter Olivier. Je te promets que je te laisse tranquille. Mais restons amis s’il te plait.

Après un mois, mes envies sexuelles revenaient me prendre au ventre, ils me taraudaient les entrailles, j’étais en manque de sexe, oui ! ça existe, j’en était la preuve vivante. Un soir, je m’étais relevée une deuxième fois pour aller me masturber, j’avais acheté un sextoy vibrant. Lorsque l’idée du site me revint à la tête. J’étais inscrite, j’avais une tonne de messages sur mon profil. Je passais un à un tous les profils qui m’avaient likée. J’en sortis trois que j’avais étudié avec une très grande attention.

Cette nuit-là, je n’avais pratiquement pas dormi, j’étais restée sur le site où j’avais pu correspondre avec Pierre.
Cet homme était agréable, semblait galant et très cultivé. Il avait sensiblement mon âge, il ne l’avait pas indiqué mais, je lui donnais, suivant les photos environ 45 ans. Puis j’avais enchainé avec Romuald un quinquagénaire, cheveux poivre et sel assez direct et grivois. Il ne semblait pourtant pas dominateur, s’était un grand sentimental, vivant avec son épouse qui ne le satisfaisait plus du tout. Et jusqu’au petit matin, j’avais continué ma discussion avec Christian un veuf de 55 ans, très charmant, quelque peu macho mais il avait beaucoup d’humour, je m’étais sentie très bien avec lui, j’avais besoin de rire et j’en avais profité jusqu’au petit matin.

Mon choix fut fait, Christian serait le premier d’une longue série. Il m’avait enchantée tant sur le plan humain qu’au niveau sexuel. Bien entendu, il était beaucoup moins résistant qu’un jeune, mais il avait su m’apporter tout son expérience, j’avais beaucoup ri et joui surtout. Tous les mois, je faisais les mercredis après-midi les 25 kilomètres qui nous séparaient et je passais deux heures de pur bonheur, il m’invitait à prendre le café et quelques chocolats, me racontait ses histoires et divers anecdotes sentimentales et sexuelles avec beaucoup d’humour.

Puis nous passions à l’action, les préliminaires étaient très longs, je pouvais apprécier ses caresses manuelles et buccales, je ne lui faisais pas de fellation car il ne tenait pas longtemps dans ma bouche sans éjaculer bien trop vite. J’en avais eu la mauvaise expérience la première fois avec lui. Je prenais deux orgasmes pendant le cunnilingus puis un autre pendant la pénétration anale que je demandais obligatoirement. J’allais donc, en fin de compte, recevoir ma dose de bien-être.

J’avais aussi, un samedi, où Olivier était exceptionnellement en déplacement pour le week-end avec mon garçon, rejoins Pierre. Étant mariés tous les deux, nous nous étions donné rendez-vous à 30 kilomètres de notre domicile. Après avoir pris le déjeuner au restaurant où il m’avait fait la cour comme il se doit, nous avions pris une chambre à l’hôtel jusqu’à la tombée de la nuit. Je peux dire que ce fut à peu de chose près aussi magique qu’avec Sébastien. Pierre fut un amant dont je me souviendrai toute ma vie. Il sut être sentimental mais savait se transformer en un terrible fauve. Il éjacula quatre fois dans l’après-midi et moi j’avais pris un nombre incalculable d’orgasmes. Nous étions faits l’un pour l’autre, m’avait-il dit.

Nous nous sommes revus tous les mois, Christian le pauvre, en avait fait les frais, bien sûr. Mais avec mon nouvel amant, je m’épanouissais de nouveau. Comme c’était si bon et que je ne pouvais pas voir Pierre plus souvent, j’avais besoin de tester Romuald, j’avais dans la tête de faire cette rencontre. Celui-ci avait bien caché son jeu, c’était un dominateur, un vrai sous ses faux airs de grand sentimental. Il m’avait pourtant fait du bien, avec lui j’avais droits à mes fessées et mes caresses, il m’avait même acheté un collier de soumise que je devais porter dès mon arrivée. Il me promenait dans son appartement, plutôt sa garçonnière car sa propre soumise habitait là. Elle était nue dans un coin lorsque nous jouions et que nous baisions.

Ce fut avec elle que je connu les premières caresses et coups de langues d’une femme. Il l’obligeait à me lécher tout le sperme que j’avais reçu dans la raie de mes fesses. J’en avais joui dans sa bouche. Mais avec lui, si je prenais cette relation comme un jeu, cela tourna mal. Il voulait maintenant que je passe la vitesse supérieure en devant adepte du BDSM. Je m’étais éclipsée et n’étais plus jamais revenue le voir.
C’est ce soir-là que je me décidai, j’étais avec mon mari, je trouvais cela horrible, je me dégoutais. Nous étions au calme, nous venions de faire l’amour sans grande passion mais avec beaucoup d’amour. Je pris donc la décision de tout lui révéler, sauf la relation extrême avec Sébastien. Au fur et à mesure que je parlais, les larmes me venaient, j’étais dans ses bras, ma tête reposait sur son torse, je n’osais pas le regarder en face. Il ne disait rien mais écoutait avec une très grande compassion, il comprit que j’étais malade, que j’avais peut-être une addiction au sexe. Nous ne sommes pas allés consulter, tout c’était arrangé lorsqu’il avait compris ce que je recherchais. Tous les mois, c’était ma soirée, Théo était gardé par sa grand-mère pendant que nous jouions.

Olivier fut génial dans le rôle de l’inconnu, il changeait de costume et il se transformait, se métamorphosait, jusqu’à son langage. Toute la semaine précédente, il faisait abstinence pour être en grande forme le moment venu. Il me prenait comme une pute, une salope ou une chienne, c’était suivant mon envie. Avec claque sur les fesses, insultes et humiliations diverses, fellation et sodomie, j’étais rassasiée, mes orgasmes le prouvaient. Ce n’était donc pas d’un autre homme que j’avais besoin, c’était uniquement d’un bon mari qui comprenait et contrôlait bien mes pulsions. J’ai supprimé mon compte sur internet, depuis deux ans que nous réalisons nos jeux et fantasmes car lui aussi avait les siens, je n’ai toujours pas eu besoins d’autres homme qu’Olivier.


Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous Barbara

Si comme Barbara vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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